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Callie (Summers)DON'T BE A DRAG JUST BE A QUEEN I AM A FREE BITCH BABY ϟ ÂGE : 19 ans ϟ ALLÉGEANCE : neutre ϟ EPOUVANTARD : être réellement violée ϟ MIROIR DU RISED : sa mère et son père étant juste derrière elle
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| Sujet: my name is nobody Mar 24 Juin - 16:33 | |
| Callie Summers “ once upon a dream ”
THE THINGS WE LOVE THE MOST DESTROY US EVERYTIME POWER RESIDES ONLY WHERE MEN BELIEVE IT RESIDES △ CARTE CHOCOGRENOUILLE III. TON IDENTITÉ. Nom Summers Prénom(s) Callie Date de naissance 30 juillet Lieu de naissance à Londres, dans le manoir d'une famille moldue. Age 19 ans. Statut de sang moldu. Maitre/Esclave Esclave Maison aucune. Année aucune. Baguette elle n'a jamais touché de baguette. Niveau de sorcellerie égal à zéro, elle n'a jamais pratiqué de magie. Epouvantard être réellement violée. | IV. IMPRESSIONNE-NOUS. Quand on écrit une lettre, on la commence par bonjour ou par une quelconque salutation mais dans cette lettre, un bonjour n'aurait pas sa place. Alors, je la commencerai pas un au revoir. J'ai donné cette lettre à Mary après ( je déteste le dire, l'écrire ou le penser mais au vu de ma situation actuelle, je vais faire une exception) mon viol. Je lui ais dis de ne pas l'ouvrir tant que je respirais encore alors si ses mots sont lus, c'est que je ne fais plus partie de ce monde. Je devrais vous dire de ne pas me pleurer. Je ne vous dirais ni de me pleurer, ni de ne pas me pleurer. Pour une fois, faîtes comme bon vous semble. Pas que j'encourage l'hypothèse qui dit que l'on vit dans un pays libre. J'aimerais juste que pendant une seconde, vous vous souveniez un peu de moi. Ensuite, je sais que vous m'oublierai, je n'ai rien fait d'incroyable pour pouvoir rester dans vos mémoires. Je ne sais pas comment je vais mourir - ou plutôt que je suis morte - je ne pense pas que ce soit à cause des coups de mon maître, j'ose espérer que je n'ai pas mis moi-même fin à mes jours, c'est une possibilité, j'ai peut-être craqué. Mary, tu n'es pas que celle avec qui je passe mon temps, tu n'es pas que ma meilleure amie. Tu es ma soeur. Nous n'avons pas le même sang mais tu as toujours été là, avec moi et pour moi. On se connait depuis le berceau, on est devenue esclave ensemble, je n'oublierais jamais comment tu m'as soutenu quand j'ai été violé (je tiens à souligner que ça fait deux fois que je l'écris. On pourrait presque en être fier). On est différentes, certes. Toi, tu as tes besoins de rébellion et moi, je pense que si cette rébellion se fait savoir, on va tous se faire tuer. Mais j'admire ton courage. Je ne sais pas qui sera triste de ma mort mais je sais que toi, tu le seras. Mais ne le sois pas trop, s'il te plait. Je veux que tu gardes ton courage, tu n'as pas besoin de moi, je ne suis qu'une petite chose insignifiante. Tu disais que personne n'était triste du sort des petites choses insignifiantes comme nous, tu te souviens? Mary, j'ai un message pour mes parents dans cette lettre, je ne sais pas si tu y arriveras mais tu pourrais essayer de leur faire parvenir? Tu sais à quel point ils peuvent me manquer. Je ne te demande pas de la donner à mon maître, je sais que tu ne lui fais pas confiance, c'est normal. Je ne vais pas lui faire une déclaration d'amour dans cette lettre, il n'est pas aussi mauvais que ce que tu le penses mais ce n'est pas non plus le meilleur maître du monde. Mais, quoique tu en dises, bien que je sois sa propriété et que c'est l'unique raison pour laquelle il l'a fait, je lui serai éternellement reconnaissante pour m'avoir sauvé. Mais tu pourrais faire passer le message à un maître qui est dans le rébellion, ils doivent bien en avoir le pouvoir. Message pour mes parents: Papa, maman. J'espère que vous pourrez lire ça, même s'il y a peu de chances. Je vous aime, je veux que vous le sachiez. Je vous aime, je vous aime plus que tout au monde, je pense à vous jour et nuit. J'avais seulement neuf ans quand on m'a arraché à vous, j'ai pourtant plusieurs souvenirs de l'époque où j'étais avec vous, je les ais peut-être inventé mais je les adore. J'aurais tellement aimé avoir eu l'occasion de vous revoir. Je n'ai pas forcement eu une vie facile mais je ne vais pas vous raconter tous l'histoire de mes quelques misères. Je vous aime, je vous aime vraiment, je crois que vous m'aimez aussi, je me souviens de l'amour que vous me portiez. Ne soyez pas trop triste, je crois que je m'en suis assez bien sortie, ça aurait pu être pire. Je veux que vous vous souveniez de la petite fille pleine de joie de vivre. Elle vit toujours en moi. Vous devez juste savoir que je n'ai jamais cessé de vous porter de l'amour.fin du message à mes parents. Comme ma vie, cette lettre va s'arrêter là. Quand j'étais petite fille, je ne m'étais pas imaginé terminé ainsi, étant encore en vie quand j'ai écrit cette lettre, je ne peux savoir quel est ce ainsi dont je parle. Je ne sais plus tellement ce que j'imaginais mais pas une vie d'esclave, peut-être mariée à un prince avec beaucoup d'enfants comme dans la belle au bois dormant ou blanche-neige. Pour la côté, prince charmant, on repassera. Après ce qu'il s'est passé, je n'ai pas pu reparlé à un garçon. Peut-être que ça a fini par leur être totalement indifférent. Probablement, ou peut-être qu'ils pensent juste que je suis un pauvre cas désespérée et qu'ils ressentent une once de tristesse pour moi, maintenant que je suis morte. C'est inutile, je vous rappelle qu'on est tous des petites choses insignifiantes et que personne ne nous pleure. Tiens, si un garçon esclave tiens cette lettre dans ses mains, il faudrait qu'il sache que je ne le déteste pas, que je ne pense pas qu'il est ce qu'il y a de plus diabolique en ce monde. Ce n'est pas votre personne qui me dégoûte mais vos yeux, vos sombres yeux de mâle, ils me rappellent les siens et quoi que j'y fasse, j'y vois le mal absolu. Je suis incapable de lutter contre et je ne vois que des criminels même si une partie de moi sait que ce n'est pas une vérité mais juste une peur, une terreur qui me dévore et me tuera. J'ose espérer que quand je quitterais ce monde, je n'aurais plus cette peur du sexe opposé. J'écris cette lettre parce que je sais que je ne vivrais peut-être pas longtemps, je ne sais même pas combien de temps je sErais capable de tenir mais je crois qu'on cache en nous un millions de pensées, des pensées qu'on ne revellera jamais à personne. Juste cette fois-ci, juste une fois, pour ceux qui se sont rendus compte de mon existence, je veux que vous sachiez ce qui ce cache dans cette tête qui est la mienne. Maintenant que je suis morte, je peux tout lâcher.
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WHAT DO WE SAY TO THE GOD OF DEATH? NOT TODAY
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Callie (Summers)DON'T BE A DRAG JUST BE A QUEEN I AM A FREE BITCH BABY ϟ ÂGE : 19 ans ϟ ALLÉGEANCE : neutre ϟ EPOUVANTARD : être réellement violée ϟ MIROIR DU RISED : sa mère et son père étant juste derrière elle
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| Sujet: Re: my name is nobody Mar 24 Juin - 16:34 | |
| story “ little poor girl ” PRETTY AND FRAGILE SLAVE
Grand sourire, tête droite, dos droit et perfection au rendez-vous. Ses yeux se concentrant sur les deux adultes qui l'observent le sourire aux lèvres, Callie Summers avance doucement - deux ou trois livres positionnés sur sa tête - vers ses parents. Une fois qu'elle est à trois mètres d'eux, elle fait une petite révérence sans faire tomber les livres. Ils l'applaudissent, toute heureuse qu'elle est. Elle se doit d'être l'élégance même. Les Summers sont une famille riche et influente d'Angleterre. Monsieur Summers aimerait bien que sa petite fille d'à peine neuf ans se marie un jour avec le prince, futur-roi. Ca se fera sûrement, il n'y a pas de raison. En plus d'être une des familles les plus puissantes, un homme serait très heureux d'avoir Callie a son bras, elle est encore petite mais elle deviendra sans aucun doute très belle. Sa mère lui a appris à jouer de la guitare et elle se débrouille encore mieux qu'elle, son père lui a appris plusieurs choses sur la médecine. C'est toujours mieux d'être mariée à une fille éduquée qu'à la première des idiotes. « Alors, vous me trouvez comment? » Aujourd'hui, la fille Summers et sa famille vont voir la famille royale, Callie est plus jolie que jamais. Elle n'a rencontré le prince qu'une seule fois et il avait l'air plutôt gentil. Son avenir est tout tracé, elle va devenir reine et son prince - qui un jour sera roi - a l'air de quelqu'un de bien. Elle a de la chance, elle en est contente, elle est impatiente et veut le revoir. Mais elle ne se doute pas que cette partie joyeuse et remplie d'amour de sa vie est bientôt terminée.
Callie Summers avait été une lady, peut-être même une future princesse et une future reine. Un bel avenir semblait s’approcher. Et puis, un jour, tout s’est écroulé, sans que quiconque puisse s’y attendre. Elle avait des serviteurs, ils étaient payés et plutôt bien nourris, mais elle ne leur demandait jamais rien, elle détestait l’idée qu’ils doivent lui servir, elle détestait cette infériorité. C‘était une petite fille, elle a toujours rêvé d’un monde d’égalité. La voilà propulsée dans un monde magique. Quelle petite fille n’en a jamais rêvé? Mais ça ne correspond pas vraiment à ce dont elle avait imaginé. Esclave, Callie Summers était devenue l’esclave d’un sorcier. Elle en serait une elle-aussi mais le fait que ses parents n’en soient pas - ils appellent ça des moldus - feraient d’elle une sang-de-bourbe et esclave. On ne peut pas dire que les conditions de vie d’une esclave soit idéal dans ce monde. Esclave ne signifie pas serviteur. Pas payée, pas très bien nourrie et vivant dans des conditions minables, pathétiques, qui devraient faire pitié à tout être humain. Les sorciers sont-ils des êtres humains? Peut-être pas, ils sont des sorciers, c’est tout. Elle apporte son diner à son maître, Gildric Ravenclaw. Elle lui lance souvent un regard qu’il ne lui rendra jamais. Passif, froid, dur, il pourrait ne pas la voir, il n’agirait pas de façon différente. Un mur n’agirait pas de façon différente. Il ne se rend peut-être pas compte qu’elle est là… Ce serait trop beau. Elle se demande si elle pourrait s’enfuir de là, courir aussi vite que possible. Rêve toujours Callie, il la tuerait. Son maître, ses parents, quelqu’un. Elle ne veut pas mourir - malgré sa triste vie - elle veut survivre, pour ce qui est de vivre, on repassera. Esclave pathétique qui rêve d’évasion mais qui n’osera jamais rien tenter. Comment cette petite princesse a-t-elle pu tomber si bas? Elle ne cessera sans doute jamais de se le demander.
Elle jette un vif regard à l’horloge, son maître aura bientôt fini ses cours. Elle vient de finir de préparer son repas. S’il y a une chose qu’elle a découvert en devenant esclave et qu’elle n’aurait jamais appris en restant avec ses parents, c’est que lorsqu’on sert quelqu’un et qu’on doit plus ou moins prendre soin de son appartement, c’est qu’on trouve toujours quelque chose à faire. Elle entend un bruit à l’extérieur du logement de son maître, c’est bizarre, ils ne devraient pas être sortis aussi tôt. Pour une raison qu’elle ignore, elle attrape un couteau de cuisine et va en-dehors de la pièce - dans les couloirs - pour voir ce qui se passe. Elle fait quelques pas dans les couloirs, elle ne voit rien ni personne. Elle s’apprête à retourner dans les appartements de son maître puis elle sursaute. Elle s’attendait pas à le voir en plein milieu du couloir. Qu’est-ce qu’il fout là? Elle fait des gestes avec son couteau. « Va-t-en! Zou! Les maîtres vont bientôt arriver. » On ne peut pas dire qu’elle se soit exprimée avec beaucoup d’autorité. C’est une esclave, l’autorité, elle ne connait pas. Enfin, si, elle connait mais elle ne sait pas s’en servir contre quelqu’un, ce n’est pas son rôle. Elle avance vers lui, passe à côté de lui pour retourner aux appartements de son maître. Il lui attrape le bras. Ce garçon, c’est un esclave qui doit avoir le même âge que lui, peut-être plus, elle ne l’aime pas, elle n’aime pas le comportement qu’il a eu envers elle. C‘est un être écœurant. « Tu te rappelles de notre conversation, petite Callie. Pas même un tout petit? Tu es sûr? » Petite Callie? Il lui donne envie de vomir. Peut-être encore plus que ce qu’elle peut le penser. Pas même un tout petit. Elle n’est qu’une esclave, elle ne vit pas dans le plus grand bonheur et il est sans doute dans la même situation qu’elle. Et elle serait très heureuse de pouvoir faire quelque chose pour arranger son bonheur, c’est pas une méchante Callie mais poser ses lèvres sur les siennes, hors de question. Elle est peut-être tombée bien bas mais elle n’est pas encore suffisamment désespérée pour se coller à n’importe quel garçon. Elle se dégage de son emprise avec la terrible force inexistante qu’elle possède. « Lâche-moi! » Il ne lui inspire pas vraiment confiance, en dehors du fait qu’il veuille l’embrasser, il y a quelque chose qui ne va pas chez lui, quelque chose qui arriverait presque à effrayer Callie. Il la prend par les épaules et l’embrasse sans lui demander son avis. Panique, grosse panique pour Callie. Elle a son couteau de cuisine dans les mains, terrifiée, pas réflexe elle donne un coup de couteau vers lui, il a une petite entaille au visage. « T’es malade! Qu’est-ce qu’il t’a pris?? » Elle peut comprendre qu’un garçon ressente un désir envers une fille mais elle ne comprend pas qu’il puisse agir ainsi envers elle. Apparemment, le coup du couteau, ça ne lui a pas plus et il la pousse par terre avec une désagréable brutalité. Le choc contre le sol cause une douleur au dos de Callie mais elle semble être le cadet de ses soucis. Elle a lâché le couteau au passage. Elle le voit avancer avec elle, elle tente de rattraper le couteau mais trop tard, il est sur elle, à quatre patte au-dessus de son corps. Il la frappe, une, deus et trois fois. Elle voit moins bien pendant quelques secondes, elle ne sait pas si elle saigne, peut-être, ce n’est pas certain, il aurait pu frapper plus fort. Il la re-embrasser contre son gré. Qu’est-ce qu’il fait? Mais qu’est-ce qu’il fait? Qu’est-ce qu’il fait? Elle ne se laisse pas faire, elle lui donne des coups, elle ne sait pas ce qu’il lui veut mais elle ne se laissera pas faire. Et puis, pendant un éclair, il sent sa main qui se glisse sous sa jupe d’esclave. Elle crie, le genre de cri qui glacerait le sang de n’importe qui. Elle bouge, elle cri. Les coups qu’elle lui donne ne semble pas lui faire le moindre mal. Nul ne pourrait dire si ce sont les cris qui l’ont insupporté ou sa manière de gigoter dans tous les sens mais le comportement de Callie a dû finir par l’énerver puisqu’il a fini par attraper la gorge de la pauvre esclave avec ses deux mains en la serrant fermement. Elle ne peut pas mourir, elle veut vivre, elle veut vivre, elle n’a rien fait qui mérite qu’elle meurt. Il finit par lâcher la pression qu’il maintenait sur sa gorge. Il déchire le bas de sa jupe. Elle essaie d’hurler mais n’y arrive plus, elle n’arrive à rien, elle n‘a plus la force de rien. Elle réalise doucement ce qu’il s’apprête à lui faire, elle veut hurler, pleurer, se battre mais elle n’arrive à rien. Elle ne s’était pas imaginée finir comme ça. Elle sent ses mains durs glisse sur ses jambes. C’est un cauchemar, une horreur, ça ne peut pas être réel, oh mon dieu, ça ne peut pas être réel, elle ne peut pas vivre ça, elle ne le peut pas. Il l’embrasse une nouvelle fois. Elle veut mourir, elle veut mourir, qu’il l’étrange jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus respirer, qu’il la poignarde avec le couteau de cuisine, qu’il mette fin à son existence avant d’aller plus loin. Il caresse sa poitrine, elle sent que les larmes ne sont plus très loin, puis il commence à déchirer le haut de sa robe. Apparemment, il compte déchirer sa robe jusqu’à ce qu’elle n’est plus de tissu sur le corps. Et puis, il disparait, elle croit voir quelqu’un l’attraper, par le cou ou l’épaule, elle ne saurait dire, elle est trop perdue, trop désespérée pour comprendre quoi que ce soit. Elle profite de sa disparition pour se rassoir et regarder ce qu’il se passer autour d’elle, il ne s’est pas dégagé tout seul, ce serait étonnant. Elle a dû mal à voir, à entendre, à respirer. Elle pose une main contre sa gorge, ça lui fait terriblement mal. Ses jambes sont nus, tellement il a déchiré sa robe et elle les couvre de ses mains tremblantes. Elle lève la tête doucement, elle a mal partout. Elle le voit, son agresseur avec une expression de visage bien différente de la précédente qu’elle trouvait cruelle. Ca ressemble a de la peur mais Callie n’est plus certaine de ce qu’elle voit. Et devant lui, celui qui a sauvé la vie de Callie. Son visage, elle le connait, il est dur et froid, elle le voit chaque jour. Il s’agit de Gildric Ravenclaw, le maître de Callie Summers.
Un cauchemar, encore. Depuis ça, depuis son presque viol - c’est comme ça que Mary l’appelle, Callie n’est pas certaine que ce soit une bonne chose de lui donner un nom - elle n’arrive plus à dormir, ça la hante, et pas seulement la nuit. Elle pensait que ça se calmerait vite, qu’elle oublierait vite cet incident et que ça quitterait son esprit. Mais, non, ça ne la quitte pas et elle commence à penser que ce terrible souvenir ne la quittera plus jamais. Elle ne sait pas ce qu’il s’est passé, elle ne s’était pas immédiatement rendue compte que ça l’avait autant affectée. Les garçons. Elle les trouve mauvais, leur yeux, leur visage, leur sourire, leur façon de marcher, tout semble mauvais en eux. Juste après son viol, elle a voulu en parler à un ami, Micah. Micah est un garçon. Elle a commencé à s’avancer vers lui, puis il s’est passé quelque chose dans ses yeux, elle ne saurait dire exactement quoi mais ça l’a terrifié, elle n’a plus eu envie de lui dire le moindre mot, il la terrifiait. Comment peut-on être autant terrifié par un ami, un garçon. Et si seulement Micah était le seul… Mais elle leur trouve à tous ces êtres masculins quelque chose d’inquiétant. « Callie? » C’est Mary, l’amie d’enfance de Callie, elles se connaissent depuis très longtemps, elles s’adorent. « Tu pleurs? » Callie déteste pleurer devant les autres et déteste qu’on le sache. Elle ne le fait jamais en journée, elle ne veut pas qu’on la voit comme ça, elle se doit d’être forte. Et quand elle pleure la nuit, elle fait en sorte de rester silencieuse, elle ne veut pas qu’on l’entende, qu’on la surprenne, alors elle étouffe ses larmes, personne ne doit savoir. Mais Mary connais Callie par cœur, elle n’a jamais rien pu lui cacher. « Oui. » Les larmes ruissèlent doucement sur les joues de la jeune esclave. Les deux esclaves se redressent en position assise. Dans quelques heures, elles devront préparer le petit déjeuner de leur maître mais pour l’instant, elles sont les seuls à être réveillé. « Ca te fait encore mal? » Ce n’est pas sans douleur, il faut l’avouer. Les maîtres ne sont pas connus pour leur douceur et ce n’est pas sans raison. Ce n’est pas Callie qui va s’opposer à cette vérité. Les gentils maîtres n’existent pas Ceux qui pensent ça se voilent la face. Certains se rebellent car ils n‘aiment pas tant que ça l‘injuste faîte aux esclaves mais ça ne les empêche pas d‘en avoir et quand les choses se passeront mal pour la rébellion, ils feront comme s‘ils ne savaient rien et laisseront les esclaves mourir. Callie, elle, se contente d‘obéir à son maître, rien de plus.« Non. Je sens rien. » Pur mensonge. Tout le monde ment un jour et Callie ne s’est jamais dit être un exemple de vertu bien qu’elle le serait sûrement si elle était restée avec ses parents. Mary lui donne un coup dans le ventre, rien de brutal, mais ça n’empêche pas de faire mal. « Tu sens rien, t’inquiète pas. » Elles rient. L’humour d’esclave, il n’y a rien à y comprendre quand on est pas esclave. Elles ne comprennent sûrement pas elles-mêmes. « C’est pour que je puisse me défendre tout seule qu’il fait ça. » Ce n’est pas la meilleure excuse du monde mais ça en est déjà une. Depuis son presque viol, son maître l’entraine à se battre, ainsi en cas de situation similaire, elle sera capable de se défendre et de ne pas revivre un presque viol. Le seul problème, c’est qu’il n’hésite pas à mettre des coups douloureux. Il faut souffrir pour être forte. « Je ne vois pas en quoi de démolir t’aide! » Ce n’est pas elle qui va dire le contraire mais elle ne tient pas vraiment à débattre de la façon dont son maitre enseigne l’art de se défendre. Tout de façon, elle n’a pas vraiment le choix. Ca doit le faire jouir d’avoir une raison de la battre mais - étant son maître - il n’était pas vraiment obligé d’en trouver une. Callie ne comprend pas vraiment à quoi il joue, quelque chose a changé dans son comportement. Tout de façon, elle aime bien l’idée que ces entrainements lui permettront de ne plus être en danger, elle n’est pas toujours convaincue que c’est vrai mais ça lui occupe l’esprit, c’est déjà ça.
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Leif Von RosenYOU MAY HAVE YOUR SWORD BUT I HAVE MY BOOKS
EINN MEð SJÁFLUM MÉR † You don't need to pretend that perfection is your friend. 'Cause we're all broken, we all end up alone. Love your flaws and live for your mistakes. Beauty's on the surface wearing thin, come closer show the marks upon your skin.
ϟ ÂGE : 22 ans ϟ CURSUS : Politique et justice du royaume ϟ ALLÉGEANCE : Les Von Rosen ϟ BUT : Une blonde incapable de rester à sa place. ϟ EPOUVANTARD : Son frère devenant héritier à sa place. ϟ PATRONUS : Un corbeau, comme l'animal d'Odin. ϟ MIROIR DU RISED : La famille Von Rosen régnant sur les mers comme sur la terre.
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| Sujet: Re: my name is nobody Mar 24 Juin - 17:11 | |
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Morrigan RavenclawYOU MAY HAVE YOUR SWORD BUT I HAVE MY BOOKS NO ESCAPE FROM THE STORM INSIDE OF ME ± Say something, I'm giving up on you. I'm sorry that I couldn't get to you. Anywhere I would've followed you. Say something, I'm giving up on you. jaime / morrigan
ϟ ÂGE : dix-neuf ans. ϟ CURSUS : basique. ϟ ALLÉGEANCE : les ravenclaw. ϟ BUT : jaime de lioncourt - love is a sweet poison but it will kill you the same. ϟ EPOUVANTARD : jaime et son fils, morts. ϟ PATRONUS : un cerbère. ϟ MIROIR DU RISED : La tête de son agresseur, des révolutionnaires ainsi que de tous les esclaves qu'elle connaît - sauf lysa - sur des piques.
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Callie (Summers)DON'T BE A DRAG JUST BE A QUEEN I AM A FREE BITCH BABY ϟ ÂGE : 19 ans ϟ ALLÉGEANCE : neutre ϟ EPOUVANTARD : être réellement violée ϟ MIROIR DU RISED : sa mère et son père étant juste derrière elle
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| Sujet: Re: my name is nobody Mar 24 Juin - 21:11 | |
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| Sujet: Re: my name is nobody Mar 24 Juin - 21:13 | |
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Callie (Summers)DON'T BE A DRAG JUST BE A QUEEN I AM A FREE BITCH BABY ϟ ÂGE : 19 ans ϟ ALLÉGEANCE : neutre ϟ EPOUVANTARD : être réellement violée ϟ MIROIR DU RISED : sa mère et son père étant juste derrière elle
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| Sujet: Re: my name is nobody Mar 24 Juin - 21:23 | |
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| Sujet: Re: my name is nobody Mar 24 Juin - 21:27 | |
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Lukeria RavenclawYOU MAY HAVE YOUR SWORD BUT I HAVE MY BOOKS
humans are fragile creatures made up of broken hearts and broken promises
ϟ ÂGE : dix-neuf ans ϟ CURSUS : basique ϟ ALLÉGEANCE : la résistance ϟ BUT : que la résistance gagne ϟ EPOUVANTARD : de perdre gwayne et ses amis ainsi que le combat ϟ PATRONUS : un aigle ϟ MIROIR DU RISED : la liberté et la paix dans le monde. une vision sans doute un peu trop naïve.
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| Sujet: Re: my name is nobody Mar 24 Juin - 22:08 | |
| shailene je suis toujours autant fan bienvenue officiellement du coup |
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Callie (Summers)DON'T BE A DRAG JUST BE A QUEEN I AM A FREE BITCH BABY ϟ ÂGE : 19 ans ϟ ALLÉGEANCE : neutre ϟ EPOUVANTARD : être réellement violée ϟ MIROIR DU RISED : sa mère et son père étant juste derrière elle
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| Sujet: Re: my name is nobody Mer 25 Juin - 11:25 | |
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Oksana RomanovaYOU MAY HAVE YOUR SWORD BUT I HAVE MY BOOKS Schizolaire o/
ϟ ÂGE : 18 ans ϟ CURSUS : ON M'A TOUJOURS PAS DIT C'QUE C'ÉTAIT ;-; ϟ ALLÉGEANCE : Je ne suis que mon cœur... Ouais, j'sais, c'est ringard. ϟ BUT : Un jour, j'aurai une camisole, et elle sera tellement trobelle que tu seras jaloux. ϟ EPOUVANTARD : MON DIEU QUELLE EST CETTE CHOSE DANS LE MIROI... Wait, c'est moi. ϟ PATRONUS : UN BLAIREAU EH OUAIS ϟ MIROIR DU RISED : Découvrir que Risèd, à l'envers, ça fait désir. Haaan, j'avais jamais remarqué, et toi ?
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| Sujet: Re: my name is nobody Mer 25 Juin - 15:51 | |
| J'VIENS TE FAIRE PEUR |
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Callie (Summers)DON'T BE A DRAG JUST BE A QUEEN I AM A FREE BITCH BABY ϟ ÂGE : 19 ans ϟ ALLÉGEANCE : neutre ϟ EPOUVANTARD : être réellement violée ϟ MIROIR DU RISED : sa mère et son père étant juste derrière elle
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| Sujet: Re: my name is nobody Mer 25 Juin - 16:23 | |
| Va t-en de ma fiche toute pure, démon C'est psychopathe de venir sur la fiche dune pauvre esclave innocente pour l'effrayer Je viens de me rendre compte que la soeur d'Oksana est la fiancée du maître de Callie Je veux pas te revoir, monstre |
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Oksana RomanovaYOU MAY HAVE YOUR SWORD BUT I HAVE MY BOOKS Schizolaire o/
ϟ ÂGE : 18 ans ϟ CURSUS : ON M'A TOUJOURS PAS DIT C'QUE C'ÉTAIT ;-; ϟ ALLÉGEANCE : Je ne suis que mon cœur... Ouais, j'sais, c'est ringard. ϟ BUT : Un jour, j'aurai une camisole, et elle sera tellement trobelle que tu seras jaloux. ϟ EPOUVANTARD : MON DIEU QUELLE EST CETTE CHOSE DANS LE MIROI... Wait, c'est moi. ϟ PATRONUS : UN BLAIREAU EH OUAIS ϟ MIROIR DU RISED : Découvrir que Risèd, à l'envers, ça fait désir. Haaan, j'avais jamais remarqué, et toi ?
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| Sujet: Re: my name is nobody Mer 25 Juin - 16:25 | |
| Mais... Mais... Mais t'es trop méchante. Elle est trop gentille, Oksana. Moi, un peu moins, mais bon |
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Siv Von RosenYOU MAY HAVE YOUR SWORD BUT I HAVE MY BOOKS
« cet amour querelleur, cette haine amoureuse, ce tout créé d’un rien, cette pesante légèreté, cette vanité sérieuse, cette innommable chaos des plus aimables formes. » ϟ Léone.
ϟ ÂGE : 21 ans. ϟ CURSUS : Arts et Littératures. ϟ ALLÉGEANCE : Von Rosen. ϟ BUT : Léone. Ce sera, c'était et c'est Léone. Je suis tout simplement trop aveuglé par mon attirance pour Endymion pour l'avouer. |
| Sujet: Re: my name is nobody Lun 30 Juin - 8:32 | |
| Bienvenue, et bonne chance pour ta fiche |
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Callie (Summers)DON'T BE A DRAG JUST BE A QUEEN I AM A FREE BITCH BABY ϟ ÂGE : 19 ans ϟ ALLÉGEANCE : neutre ϟ EPOUVANTARD : être réellement violée ϟ MIROIR DU RISED : sa mère et son père étant juste derrière elle
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| Sujet: Re: my name is nobody Mar 1 Juil - 20:52 | |
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Lukeria RavenclawYOU MAY HAVE YOUR SWORD BUT I HAVE MY BOOKS
humans are fragile creatures made up of broken hearts and broken promises
ϟ ÂGE : dix-neuf ans ϟ CURSUS : basique ϟ ALLÉGEANCE : la résistance ϟ BUT : que la résistance gagne ϟ EPOUVANTARD : de perdre gwayne et ses amis ainsi que le combat ϟ PATRONUS : un aigle ϟ MIROIR DU RISED : la liberté et la paix dans le monde. une vision sans doute un peu trop naïve.
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| Sujet: Re: my name is nobody Mar 1 Juil - 23:12 | |
| la pauvre callie j'avais le coeur serré en lisant ta fiche tu as vraiment une belle plume fais tout de même attention aux fautes d'inattention que j'ai pu voir n'hésite pas à te relire ou à utiliser bonpatron ou word Félicitations! “ En cadeau, une bonne gifle de tonton tyrion pour jeobitch yeah ~ ” LE ROI A APPROUVE VOTRE PARCHEMIN - YIHEE YEEHA
Félicitations, petit padawan, tu es officiellement validé(e) ! Toute ta laïfe, t'as attendu que cet instant pas vrai ? Bref, tu fais officiellement partie de la grande famille qu'est Bloody Hell et on est ravis de te compter parmi nous !
Toutefois, ton inscription (et ton intégration) ne sera que plus complète en faisant les deux-trois trucs obligatoires qui suivent la validation. Pas de soucis, ça dure cinq minutes et après, t'es lâché(e) dans la jungle, bby. Mais tu peux toujours nous mpotter si tu es perdu(e)
Tout d'abord, il te faudra remplir les registres afin de permettre au staff de savoir qui tu es et ce que tu fais (big brother is watching you. ) N'hésite pas à aller vérifier ça et là si l'équipe administrative a bien fait son job ! Après ça, il te manque plus que des liens, éventuellement un scénario et des rps ! Entre deux rédactions, n'hésite pas à venir flooder et jouer avec nous ! Et si jamais tu dois partir, passe par les absents, tu serais un amour ! Bref, bienvenue, félicitations, on t'aime, merci.
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Callie (Summers)DON'T BE A DRAG JUST BE A QUEEN I AM A FREE BITCH BABY ϟ ÂGE : 19 ans ϟ ALLÉGEANCE : neutre ϟ EPOUVANTARD : être réellement violée ϟ MIROIR DU RISED : sa mère et son père étant juste derrière elle
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| Sujet: Re: my name is nobody Mer 2 Juil - 12:45 | |
| merciii pour la validation et les compliment ah, il faut que je fasse gaffe au faute d'orthographe, j'ai encore du mal avec le clavier (le gif de Tyrion qui frappe Joffrey est beeeeeeeeau) |
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| Sujet: Re: my name is nobody | |
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