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I RUINED IT BEFORE YOU COULD.

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Aegon Blackfyre
BEING BADASS AIN'T EASY
SO MANY JEALOUS BITCHES
Aegon Blackfyre

BEING BADASS AIN'T EASY  SO MANY JEALOUS BITCHES

ϟ ÂGE : vingt et un ans.
ϟ CURSUS : huitième année, arts du combat.
ϟ ALLÉGEANCE : les royalistes.
ϟ BUT : tuer ses opposans, tout les esclaves et séduire un maximum de filles.;
ϟ EPOUVANTARD : la déchéance, la défaite, le déclin.
ϟ PATRONUS : un énorme loup.
ϟ MIROIR DU RISED : au sommet de l'élite sorcière, des esclaves aux pieds et son cher endymion à ses côtés.

http://31.media.tumblr.com/tumblr_m7zh1ujnhH1rv1mkjo2_250.gif

LOVE IS A REVOLUTION
RELATIONS:
JOURNAL INTIME:
MessageSujet: I RUINED IT BEFORE YOU COULD. I RUINED IT BEFORE YOU COULD. EmptyLun 30 Juin - 19:57


~~~
i saw you were blind and i knew i had won.
so i took what's mine, by eternal right.
took your soul out into the night.

© tumblrgoodbye my lover, @james blunt.


Tu sentais les regards se poser sur toi, inquiets et curieux. Il était vrai que tu n'avais aucune raison de te trouver ici, si près des entrailles du château et, pourtant, si loin de ta chère salle de Serpentard. Cependant, personne ne te poserait de question, tu le savais bien. Tu étais Aegon Blackfyre, l'âme vendue du prince Endymion. Tu étais intouchable, tu ne craignais rien ni personne. Après tout, tu n'étais rien de moins que le meilleur ami du jeune Peyredragon, son bras droit et son frère, même si le même sang ne courrait pas dans vos veines. Il était ta famille et tu profitais ainsi de son aura, partout où tu allais. C'était ainsi que tu pouvais faire tout ce que bon te semblait, sans jamais n'avoir de compte à rendre à personne. Les gens avaient trop peur pour cela. A la fois de tes coups de sang et de l'influence des Peyredragon. En résumé, tu menais une vie de rêve. Liberté était le mot qui la résumait le mieux. Et c'est cette liberté de mouvement qui te conduisait ainsi auprès des cuisines de Poudlard, dans une autre salle commune que la tienne. Un fait normalement hautement interdit par le règlement du château. Mais tu n'avais cure de suivre les règles, comme bien souvent d'ailleurs. Tu avais décidé de t'y rendre et rien ne pourrait t'arrêter. Les jaunes et noirs te regardaient d'un drôle d'oeil alors que tu pénétrais au sein de leur salle. Délicieusement fade et inintéressante, par rapport à ta chère place forte verte et argent. Il fallait dire que les Poufsouffles n'étaient pas franchement connus pour leur excentricité. D'ailleurs, la plupart du temps, les gens oubliaient même jusqu'à leur existence. Ils étaient, à l'image de leur maison, discret et passif. A l'exception peut-être de l'un des leader rebelles, Leone Vasirilis. Un de tes hommes à abattre. Cependant, ce n'était pas à lui que tu comptais rendre visite mais plutôt à une jolie créature blonde que tu adorais faire chanter. Aysun t'avait évité toute la journée et tu pouvais en comprendre la raison. Tu étais irascible avec elle et tu aimais la faire tourner en bourrique. Pauvre petite. Si jeune et innocente et déjà tombée dans les filets du diable. Et tu ne comptais pas mettre fin à son calvaire de si tôt. Tu t'étais pris d'une sorte de passion pour la jeune mêlée. La torturer, te moquer d'elle et la faire chanter, voilà des choses que, de façon prévisible, tu adorais. Mais tu avais également développé une sorte de possessivité envers elle. Tu détestais la voir auprès de crapules telles que les frères Eachain ou tout autre membre de la gente masculine, d'ailleurs. Tu lui menais une vie infernale et elle ne t'en détestait qu'un peu plus à chaque fois. Pourtant, ce n'était pas ton but ultime. Tu aurais voulu qu'elle t'apprécie mais tu semblais tout faire de travers et la jeune Ryder te méprisait. Tu lisais clairement la haine dans son regard. Alors qu'elle était d'une nature riante et souriante avec les autres, tu n'avais droit, toi, qu'aux lèvres pincées et aux yeux noirs. Tu traversas la salle commune aisément, puisque tout le monde s'écartait de ton chemin. Ils te craignaient tous, tu pouvais le voir. C'était clairement perceptible, dans leur façon d'agir. Tu te dirigeas droit vers le dortoir qu'Aysun partageait avec des autres mêlés. Leurs visages reflétèrent la surprise lorsque tu pénétras dans leur chambre commune et tu ne pus retenir un petit sourire mauvais de fleurir sur tes lèvres. « Vous tous, dehors. » Ta voix était tranchante et froide. Et surtout, ta réplique n'attendait aucune réponse. Bien docilement, les mêlés sortirent en ligne, Aysun en dernier. Tu dardas ton regard couleur mousse sur elle, cherchant à l'appeler du regard. Elle pensait visiblement que l'ordre s'appliquait à elle également. Tu lui barras le passage de ton bras, glissant ta main sur sa hanche pour lui faire rebrousser chemin. « Pas toi ma grande. » Oh ça non, tu n'allais pas la laisser s'échapper. Tu comptais bien profiter de ces quelques instants volés avec elle. Tu t'adossas à la porte, croisant les bras sur ta poitrine avant de laisser ton regard courir sur sa silhouette, s'attardant sur ses courbes et ce, sans vergogne. Tu n'étais pas vraiment du genre à passer par quatre chemins, lorsque tu désirais quelque chose. Et toutes notions de romantisme ou de séduction t'étaient étrangères. « Qui était ce jeune homme avec qui tu plaisantais, lorsque je suis entré ? » Ta voix était empreinte de jalousie mais tu t'en fichais pertinemment. Aysun n'avait, de toute façon, pas le droit de te juger puisque son rang était inférieur au tien. « J'ai une question, ma chère louve, jusqu'où es-tu prête à aller, pour faire que ton secret en reste un, justement ? » Tu haussas un sourcil suggestif en plantant tes yeux dans les siens, en attente de sa réponse.
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Aysun Ryder
YOU'LL WIN THEM OVER WITH
YOUR RAINBOW KISSES AND UNICORNS STICKERS?
Aysun Ryder

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ϟ ÂGE : vingt-et-une années.
ϟ CURSUS : huitième année - cursus sciences magiques.
ϟ ALLÉGEANCE : elle va tout droit au chemin de la neutralité.
MessageSujet: Re: I RUINED IT BEFORE YOU COULD. I RUINED IT BEFORE YOU COULD. EmptyMar 1 Juil - 18:04

 
✰ ✰ ✰
Sometimes in the light at the edge of the world
is the ghost of a ship with it's black sail furled.
And night after night she would stand on the shore and
dream of the love that she knew before

© tumblr

Le monde peut bien continuer de tourner, les choses ne changeraient guère. Un peu plus chaque jour, tu pouvais le constater comme le nez au milieu d’un visage. Les divergences de la nature d’un sang, d’une race. La différence effraie le peuple sorcier, comme celui des moldus. Tu pourrais continuer de te ranger de ce côté de la barrière sans défaire ses valeurs avec lesquelles tu as été élevée, seulement depuis près de quinze années, ces mêmes valeurs ont pour toi tout chamboulée. Tu vis avec cette parcelle d’espoir que le meilleur reste à venir, que la tolérance suffira à faire plier la haine d’une rupture que l’on peut voir comme une erreur. Tu apprivoisais cette nature animale en toi comme on apprivoiserait un enfant ayant subi un traumatisme. La comparaison n’est pas si lointaine, mais après tout c’est une vérité ajusté par des mots avant d’être eux-mêmes des maux. Douloureux, solitaires, hésitants. L’écheveau de tes pensées te guide vers la conversation qui anime le petit groupe qui s’est rassemblé au sein du dortoir que tu fréquentes. Assise en tailleur sur une énorme malle, tu penches légèrement le regard sur le côté pour lire un article de la Gazette qui ne cessait de faire fuser les conversations. Elles courraient en murmures le long des corridors de Poudlard, flirtaient avec les messes basses ayant lieu lors des prises de repas, animaient les pauses entre deux cours. Contrairement à beaucoup de tes camarades tu n’avais eu aucun répit, ni même le temps d’ouvrir un seul bouquin pour assouvir ta passion personnelle. Non, tu avais bien trop à faire entre les travaux scolaires à rendre et les services que tu te devais de rendre à ce cher Blackfyre dont la simple présence suffisait  à terroriser l’ensemble d’une maison, la tienne en particulier. Rien que d’y songer, tu secoues énergiquement la tête afin de le chasser de ton esprit. Depuis le début de la matinée, tu t’étais du mal pour l’éviter sachant qu’il viendrait encore se divertir d’une haine que tu nourris à son égard, encore bien plus depuis qu’il possédait sur toi l’une de tes faiblesses, un atout que tu ne pouvais ignorer. Il avait remporté cette manche, mais avec optimisme tu espérais bien remporter le combat. Tel un jeu d’échec, il cerclait la Reine comme sa propre ombre, en l’occurrence la tienne. Jusque-là, tu avais veillée à être extrêmement discrète sur l’existence de ta nature de lycanthropie seulement sur ce coup là tu n’avais pas été assez vigilante. Tu t’en mordais les doigts, accumulait ses remarques et ses exigences. Tu représentais une distraction de choix, bien loin de là où les groupies attablées à ses bras l’observaient en attendant leur tour. Son intérêt de jeu sur ta personne continuait de perdurer mais tu ne sais pas encore combien de temps tu finirais par tenir. Ta liberté. Voilà un terme qui résumait tout l’espoir de ta naissance, de tes aspirations et de ton tempérament de coutume communicatif et doux. Doucement, la main de l’un de tes compagnons pose une main sur ton épaule avant de l’entourer tout en s’installant à ton coté. Il te murmure à l’oreille une simple tirade de remerciement sur l’aide que tu as pu lui apporter lors de son match de quidditch. Un remède à base de plantes médicinales avait suffit à calmer ses maux de têtes et donc lui permettre de jouer. Tu lui renvoies son sourire avec sincérité et jovialité avant de reprendre l’un des nombreux livres se trouvant dans ton sac en cuir – pour en poursuivre la lecture – lorsqu’une voix glaçante s’élève dans la pièce. Rien qu’à ce timbre tu en reconnais le porteur.  Tu fermes les paupières en soupirant, tes épaules s’affaissant quelque peu. « Vous tous, dehors. ». Une affirmation qui demeurait ni plus ni moins qu’un ordre aussi expéditif qu’explicite. Quand bien même Alistair demeurait un sang-pur de naissance, il te lance un regard désolé avant de suivre vos camarades pour sortir de la chambre. Tu en fais alors de même, tentant de passé inaperçu même si cette idée reste bien maigre. Sa présence ici ne peut vouloir dire très peu de chose : il te cherche et il le fait toujours. Cette hiérarchie basée sur l’ascendance de chacun commençait doucement mais certainement par te peser et ce depuis qu’Aegon avait une longueur d’avance sur toi, il en avait toujours sur tout le monde c’était bien connu. « Pas toi ma grande. ». Dit-il d’un ton arrogant et sûr de lui tout en apposant son bras devant toi comme pour te barrer le chemin vers la sortie. Espérer te fondre dans la masse ? C’était perdu d’avance mais au moins tu avais essayé. Sa main glisse sur ta hanche aussi naturellement que si tu l’y avais invité avant de s’appuyer légèrement contre la porte, bras croisés sur ton torse. Tu sais qu’il te dévore d’un regard qui lui colle à la peau comme une ombre sur un mur, un regard qui te met mal à l’aise. Tu as horreur que l’on te couve des yeux, que l’on s’attarde trop sur toi tu n’en  as guère l’habitude mais avec lui c’est encore pire. La débâcle de la colère et de la haine s’affrontent comme de parfaites adversaires au lieu d’être alliées. Et oui, d’une part tu étais en colère contre toi-même de te voir éléver au simple rang de divertissements, d’une bête de foire rien que pour animer l’ennui d’un petit sorcier aussi mesquin que royaliste. Et d’autre part, la haine que tu nourrissais pour sa personne animait un peu plus tes rancœurs qui atténuaient ta patience. Tes prunelles se fixent sur le sol pour éviter de le regarder, il lisait assez ta colère, se riait assez de toi pour que tu ne lui procures plus d’amusement. « Qui était ce jeune homme avec qui tu plaisantais, lorsque je suis entré ? ». Une intonation possessive doublée d’une grandeur qui se fichait éperdument de l’hypocrisie. Aegon disait les choses franchement, sans pendre de détour. L’esprit magnanime et diplomate, il ne connaissait aucunement. Sa position de pureté n’arrangeait rien bien au contraire, son trait de supériorité s’inscrivait dans une chacune de ses phrases, chacun de ses gestes «[color=slategray Vous n’êtes pas venu ici pour parler de lui, alors allez droit au but. [/color]». Lui dis-tu calmement, la tête légèrement tournée vers la fenêtre. « J'ai une question, ma chère louve, jusqu'où es-tu prête à aller, pour faire que ton secret en reste un, justement ? ». Sa voix est malicieuse, les traits de son visage impatient d’entamer le sujet qui animera un peu son existence ennuyeuse. En employant les termes louve et secret dans une même interrogation, il parvient à te faire lever le regard en sa direction. Tes pupilles légèrement ambrée crépitent d’une flamme dont l’ire ne cesse de grandir. La tempête fait rare au sein de ta conscience d’ordinaire tranquille et sereine, mais tu conserves malgré tout ton calme. Tu étais prête à de nombreuses choses, mais il y avait des limites. Ton intégrité, ta liberté, ta sincérité d’esprit, tout cela brimés pour un secret qui jusque-là demeurait vivace mais sous silence. Ton maitre chanteur désirait mener la danse, mais tu prendrais une toute autre direction avec une audace qui ne t’a jamais été étrangère. « Vous ne direz rien pour le moment parce que vous vous amusez, Vous vous délectez de ma situation jusqu’à ce que cela s’essouffle. Vous êtes le maitre d’un jeu et cela vous enchante, pas vrai ? ». Répliques-tu avec une voix pondérée tout en arquant à ton tour un sourcil affirmatif. Voyant qu’il ne répond toujours pas, tu poursuis. « Seulement, la vérité est toute autre au-delà de votre cour et de votre existence. ». Tu le toises en silence une fraction de secondes avant de te diriger vers ton sac à bandoulière resté sur la malle. Tu en sors deux rouleaux de parchemins, lui tournant le dos. « Je suis prête à beaucoup de choses pour conserver ce pourquoi je me suis toujours battu et cela pour de nombreuses raisons. Rendre service et faire des devoirs pour les autres peu en faire partie. ». Tu te retournes en sa direction tout en lui tendant les deux rouleaux. De rouleaux contenant des écrits à rendre pour la fin de la semaine.

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Aegon Blackfyre
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Aegon Blackfyre

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ϟ ÂGE : vingt et un ans.
ϟ CURSUS : huitième année, arts du combat.
ϟ ALLÉGEANCE : les royalistes.
ϟ BUT : tuer ses opposans, tout les esclaves et séduire un maximum de filles.;
ϟ EPOUVANTARD : la déchéance, la défaite, le déclin.
ϟ PATRONUS : un énorme loup.
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MessageSujet: Re: I RUINED IT BEFORE YOU COULD. I RUINED IT BEFORE YOU COULD. EmptyLun 7 Juil - 15:08


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« Vous n'êtes pas venu ici pour parler de lui, alors allez droit au but. » Elle n'ose même pas te regarder, elle te fuit. Comme toujours. Tu hausses les épaules, de toute façon, tu n'avais jamais été très doué pour faire la conversation sur des choses qui ne te passionnaient que peu. Et puis, en réalité, tu n'avais que faire de ce petit être qui semblait faire la cour à Aysun. Tu te savais meilleur que lui dans tout les domaines. Tu ne craignais personne, c'était connu. Pas même celui qui viendrait se proclamer en tant qu'âme sœur de la jeune blonde. Même celui-là, tu arriverais à le défaire. Cependant, tu comptais pas aller directement droit au but. Tu entendais bien faire traîner les choses. Tu savais qu'elle détestait cela et toi, tu n'aimais rien de plus que la faire tourner en bourrique. La rendre dingue. Mais pas toujours dans le bon sens du terme – pour toi. Car, si tu connaissais un succès assez important auprès de toute la gente féminine, Aysun semblait rester hors d'atteinte de ton charisme. Elle se fichait pas mal de toi et ne semblait pas le moins du monde te trouver à son goût. Autant dire que c'était une grande première pour toi. « Vous ne direz rien pour le moment parce que vous vous amusez. Vous vous délectez de ma situation jusqu'à ce que cela s'essouffle. Vous êtes le maître d'un jeu et cela vous enchante, pas vrai ? » Tu ne peux retenir un petit rire amusé. Finalement, elle semblait t'avoir plutôt bien cerné car cette description de ta personne était tout ce qu'il y avait de plus exacte. Elle hausse un sourcil, comme pour accentuer ses propos et toi, tu te contentes de la fixer du regard, ne la lâchant pas, ne serait-ce que l'espace d'une seconde. Tu sais que cette manie là non plus, elle ne l'aime pas. La jeune blonde ne semble pas vraiment apprécier le fait de se retrouver sous les feux des projecteurs. Tout ce que tu aimes, en conclusion. En réalité, vous n'auriez plus être plus différents. Elle détestait tout ce qui te caractérisait et tu trouvais les traits de son caractère diablement ennuyeux. De vrais contraires. Mais, n'avais-tu pas entendu dire, un jour, que les opposés s'attiraient ? D'ailleurs, ce proverbe semble effectivement s'appliquer. Du moins, dans ton cas car Aysun n'aurait pu être plus distante, avec toi. Tu gardes encore et toujours le silence, attendant patiemment – pour une fois – qu'elle termine sa tirade. « Seulement, la vérité est toute autre au-delà de votre cour et de votre existence. » Elle ose te toiser, l'espace de quelque instant mais sa hardiesse s'évanouit bien vite. Et tu le regrettes parfois car tu aurais aimé qu'elle te résiste un peu plus. Fait contradictoire également, puisque tu aimais également – et démesurément – que l'on t'obéisse au doigt et à l'oeil. Elle se dirige bien rapidement vers son sac et te deux tends deux rouleaux de parchemins. Brave petite, toujours à l'heure pour rédiger tes devoirs. « Je suis prête à beaucoup de choses pour conserver ce pourquoi je me suis toujours battue et cela pour de nombreuses raisons. Rendre service et faire des devoirs pour les autres peu en faire parti. » Un petit sourire ironique étire alors les commissures de tes lèvres. Elle était si innocente et si ignorante parfois, lorsqu'il s'agissait de la nature profonde de ton âme perverse et ténébreuse. Les devoirs, tu n'en avais que faire. Tu trouverais bien quelqu'un d'autre pour les écrire. Non, tu désirais autre chose d'elle. Quelque chose qu'elle ne semblait même pas imaginer. Alors que c'était précisément la première chose à laquelle toi, tu avais songé. Tu attrapes les rouleaux avant de les re-déposer raidement sur une autre couchette. Tes yeux sont toujours fixés sur elle, dans la seule et unique intention de la mettre mal à l'aise. Elle se tient si loin de toi. Le plus loin possible, en réalité. Et pourtant, ce n'est pas parce qu'elle te craint. Qu'elle se tient hors de frappe de tes poings. Non, c'est simplement qu'elle t'exècre. Et c'est sans doute pour cela que tu ne la désires que plus. « Je te prierais de ne parler ni de ma cour, ni de mon existence. Tu ne connais ni l'une, ni l'autre et un vieux précepte mets en garde contre cela. » Elle en savait probablement plus sur toi que l'inverse mais tu n'aimais pas qu'elle te le rappelle. C'était agaçant de ne pouvoir contrôler ce qui sortait de son adorable bouche. Un sentiment que tu ne connaissais pas, avec Piper. Elle était si douce mais si prévisible. Tu savais quel mot allait sortir de sa bouche à l'instant même où elle le prononçait. C'était rassurant mais également parfaitement ennuyeux. Le revers de la médaille, en quelque sorte. « Mordre quelqu'un peut-il être inclus dans ce beaucoup de chose ? Espionner pour mon compte ? Mentir pour moi ? Dis-moi quelles sont tes limites, mêlée. Dis-moi jusqu'où te va cette espèce de loyauté que tu me dois désormais, puisque je suis détenteur de ton plus noir secret, de cette chose qui empoisonne ton existence et avec laquelle je pourrais te réduire à néant. Quoi que je n'en ai absolument pas besoin, note le bien. » Tu t'approchas d'elle, posant tes mains sur ses hanches afin de l'attirer à toi. « Et devenir ma nouvelle maîtresse, cela entre-t-il également dans la liste des choses dont tu es capable pour rester libre ? »
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Aysun Ryder
YOU'LL WIN THEM OVER WITH
YOUR RAINBOW KISSES AND UNICORNS STICKERS?
Aysun Ryder

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ϟ ÂGE : vingt-et-une années.
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MessageSujet: Re: I RUINED IT BEFORE YOU COULD. I RUINED IT BEFORE YOU COULD. EmptyVen 1 Aoû - 16:41

 
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Il aurait pu être une toute autre personne, ce genre de personne contraire à ce qu’il était actuellement. Une essence vile et cruelle dont l’arrogance est une source important pour se sentir vivant, plein d’assurance. Loin de cette exagération, tu avais toujours menée une existence à l’abri des regards au sein d’une famille on ne peut plus banale. Deux parents désespérants à vivre les joies d’une vie ensemble, ta mère se fondant dans les méandres d’un espoir perdu ne pouvant satisfaire ce besoin d’être une figure maternelle à son tour. Quelques temps plus tard, boucles blondes et sourire insouciant étaient apparu, égayant cette vie deux pour devenir désormais trois. A la suite, plus rien n’avait d’importance en soi, si ce n’est juste le bonheur réel d’être ensemble dans les bons comme dans les mauvais moments. Tu songeais que cette pensée serait suffisante pour repousser les noirceurs qui empiétaient du terrain sur l’esprit de ton père. C’était un homme bon et attentionné mais trop faible de caractère pour lutter contre le gout du jeu. Une soif qui ne cessait de grandir encore et encore. Il n’y avait pas de fin, il perdait au jeu du cycle infernal. Le point final s’est imposé à lui le jour où ses bourreaux sont devenus les tiens, changeant à jamais une existence qui ne serait pour toi que l’ombre de tes cauchemars. Ta particularité magique aurait pu te rendre asociale et solitaire  mais tu avais décidé de prendre les devants, de prendre les contre-pieds d’une réalité où tu ne voulais plus être l’esclave, la victime. Tu considérais ainsi ne t’aurais menée nulle part si ce n’est vers une chemin où la dépression et le dégout seraient tes éternels compagnons. Tout fonctionnait comme sur des roulettes, du moins jusqu’à ce qu’il entende tout. Aegon était un être fourbe et machiavélique, un personnage odieux et sans une once de regrets. Sans un regard en arrière, il pouvait vous écraser ou bien vous rendre attrayant jusque parce que vous possédiez ce petit quelque chose d’amusant, de fascinant. Il semblait te porter un intérêt tout particulier mais la haie que tu lui vouais ne peut se quantifier. Il se délectait de cet ascendant sur ta personne, maitre de l’instant et des ordres mais en tu en serais la cavalière de ses maux. Ton maitre chanteur dépose les deux parchemins sur l’un des lits de ta colocataire comme si ce travail qui t’avait demandait plus de trois heures de ton temps libre était un vulgaire écrit. Ta rage bouillonne, ta raison s’effrite pour ne te laisser plus aucun contrôle de toi-même mais tu comptes bien ne rien le laisser voir. Pour lire entre tes lignes aurait-il encore fallut qu’il te comprenne de A jusque Z, un fait qui reste tout bonnement impossible.  « Je te prierais de ne parler ni de ma cour, ni de mon existence. Tu ne connais ni l'une, ni l'autre et un vieux précepte mets en garde contre cela. ». Te dit-il d’une voix grave et autoritaire à la fois. Son timbre de voix répond d’un respect qu’il a pour habitude d’obtenir, en réagissant comme tu le fais, tu bouscules ce qui lui est acquis naturellement avant d’être l’un de ses caprices. Il avance vers toi mais tu recules jusqu’à ce que ton pied heurte l’un des pieds du lit. Emettre de la distance entre lui et toi, te permet de chasser la vérité qui te lie à lui. Une situation où enfermée dans une cage on te prive d’une liberté que tu as constamment cherchée. En être privée est pour toi inconcevable pourtant, il joue avec cette dernière d’une manière délibérément intentionnelle. « Mordre quelqu'un peut-il être inclus dans ce beaucoup de chose ? Espionner pour mon compte ? Mentir pour moi ? Dis-moi quelles sont tes limites, mêlée. Dis-moi jusqu'où te va cette espèce de loyauté que tu me dois désormais, puisque je suis détenteur de ton plus noir secret, de cette chose qui empoisonne ton existence et avec laquelle je pourrais te réduire à néant. Quoi que je n'en ai absolument pas besoin, note le bien. ». Tu t’apprêtais à répliquer face à sa dernière déclaration mais cette réplique-là, te coupe dans ton élan. Ses yeux d’un vert azuréen sont d’une intensité sauvage et déterminée teinté d’une malice ironique. Tout est bon pour montrer qu’il mène la danse. Ton cœur résonne avec beaucoup plus de cadence, martelant ta poitrine. L’image du loup que tu es sous la pleine lune s’impose à toi, une attaque puis une morsure dont tu serais à l’origine. Rien que de l’imaginer, tu as envie de hurler. Tu luttes en permanence contre ses instincts, tu mets tout en œuvre – parfois même avec l’aide ton meilleur ami – pour prévenir le pire. La potion du tue-loup malheureusement n’est pas toujours aussi efficace que l’espoir que tu nourris pour un avenir meilleur. Tu détestais cette partie de ta personne quelques fois, néanmoins tu avais appris à vivre avec, à apprivoiser  au mieux possible cette essence animale. Tu restais toujours toi-même, pas vrai ? Ne t’en convainc pas Aysun. Tu l’as déjà fait par le passé et tu sais très bien ce que tu vaux. Ne laisse pas ses paroles tout remettre en doute ! Il ne te connait pas, il ne sait rien de toi ! Ta conscience tente de te tirer de ce mauvais pas, de te réveiller de cette léthargie qui te saisit alors qu’il réduit la distance entre vous. Seulement ta raison est atone, tu es comme figé coincer, piégée. Tes prunelles le fixent en silence, tes lèvres scellées. Ta loyauté a toujours été humble et intègre, à l’écouter il te demande quelque chose qui va à l’encontre de ton éthique. « Et devenir ma nouvelle maîtresse, cela entre-t-il également dans la liste des choses dont tu es capable pour rester libre ? ». Réplique-t-il amusément joueur en posant ses mains sur tes hanches pour t’attirer à lui. Son contact est franc, son regard intimidant. Seulement, ses propos ne cessent de se répéter à l’infini dans ta tête. Tu fronces les sourcils tentant de te le repousser mais sa prise est bien plus forte que la tienne. Tu cesses à nouveau de bouger, tes traits dessinant une expression plus catégorique. Tu es en colère, il se joue de toi et s’en amuse encore et encore. « Mentir, trahir et encore mentir ? Il n’y a que ça pour vous qui compte ? Venant d’Aegon Blackfyre, on ne peut pas en attendre moins. C’est pathétique et simpliste. ». Dis-tu d’une intonation calme, pondérée. Son regard te scrute, le tien le soutien. Une guerre froide à demi-mot, une demi-mesure implicite que tu ne saisis pas encore tout à fait. Un grognement de rage t’échappe, tu poses ta main sur la sienne en la serrant le plus fort possible pour tenter de le forcer à te lâcher. « Quand à prendre la place de maitresse, ne rêvez pas trop. Plutôt être jeté dans la gueule du loup. ». Rien que d’y songer, tu grimaces. Aegon prenait des libertés que tu n’avais jamais franchies et cela ne faisait qu’agrandir ta sensation de panique. « Vous ne direz rien pour le moment, je vous amuse pas vrai ? Un sentiment de puissance qui vous rend fort pour le moment, ça ne durera pas toujours. ». Le souffle de son haleine danse sur ta peau, et au vue du rythme de son souffle, tu sais que la colère le gagne également.

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Aegon Blackfyre
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ϟ PATRONUS : un énorme loup.
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MessageSujet: Re: I RUINED IT BEFORE YOU COULD. I RUINED IT BEFORE YOU COULD. EmptyMar 2 Sep - 18:52


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Tu la regardas s'éloigner de toi, jusqu'à ce qu'elle heurte l'un des pieds du lit. Tu avais l'impression d'être le grand méchant loup et d'avoir coincé la petite souris dans un endroit d'où elle ne pourrait s'échapper. Et c'était divinement jouissif, comme sensation. Cette sensation d'avoir capturé la divine blonde. Elle était ton objectif depuis un moment, la proie que tu désirais ardemment attraper. Et Dieu seul savait depuis combien de temps tu la traquais. Presque depuis que tu avais posé les yeux sur elle. Bien entendu, elle était tel un fruit interdit, pour toi. Une hybride. Elle était, ainsi, presque aussi méprisable qu'un sang-de-bourbe, c'était donc pour dire. Elle appartenait à cette espèce inférieure que tu adorais torturer. Cependant, cela ne t'interdisait pas, pour autant, de t'amuser un petit peu avec elle. Ton corps collé contre le sien, tu pouvais sentir son souffle s'écraser sur ton menton et tu percevais presque nettement les battements de son cœur affolé par la crainte que tu lui inspirais. A moins que ce ne soit autre chose ? Elle tenta de te repousser, mais c'était peine perdue. Elle était aussi légère qu'une plume tandis que tu étais plutôt du genre enclume. L'entraînement acharné auquel tu t'astreignais, sans aucun doute. Tu pouvais lire la colère, dans son regard et cela t'amusait. Tu te réjouissais toujours de voir à quel point ton être pouvait être désagréable aux autres. A quel point ta simple vision pouvait les agacer ou bien les faire trembler. Qu'ils t'apprécient ou non, les gens ne restaient pas indifférents, face à Aegon Blackfyre. Enfin, il fallait bien avouer que, la plupart du temps, ils rêvaient de t'étouffer dans ton sommeil. Et tu savais que tu devais – grandement – ta vie au fait qu'ils craignaient le courroux royal. Endymion tuerait quiconque toucherait à un cheveu de ta précieuse tête. Tu lui étais aussi cher qu'un frère et il était pour toi un véritable pilier. Une amitié sans anicroches et toujours faits de hauts. Un parfait petit fleuve tranquille. Autant dire que c'était la seule chose dans ta vie qui était stable. « Mentir, trahir et encore mentir ? Il n'y a que ça pour vous qui compte ? Venant d'Aegon Blackfyre, on ne peut pas en attendre moins. C'est pathétique et simpliste. » Tu ricanas alors qu'elle soutenait ton regard. Une véritable petite diablesse, cette fille. Elle ne cessait de se rebeller en face de toi, ne voulant jamais plier le genou, comme tu voudrais pourtant qu'elle le fasse. Si elle acceptait de t'obéir, elle ne le faisait pourtant pas de bon cœur. Tu doutais de pouvoir un jour la domestiquer. Et, si tu ne le pouvais pas, il ne te resterait plus qu'une chose à faire : la briser. Ce serait dommage, mais tu ne pouvais décemment pas tolérer de laisser aller quelqu'un qui te résistait. Le choix était désormais sien. « C'est simpliste, mais ne dit-on pas que le bonheur est fait de petites choses ? Enfin, tu as tout de même oublié de mentionner une autre de mes passions : séduire. » Tu haussas un sourcil suggestif avant de rire de nouveau, en la voyant grogner. Une véritable louve, à n'en pas douter. Elle agrippa l'un de tes poignets pour tenter de te faire lâcher prise. Pauvre petit oisillon. Tu comprenais sa colère, vraiment. Mais elle te faisait autant d'effet qu'une réprimande d'un professeur. Tu t'étais élevé si vite que, désormais, tu ne reconnaissais plus les critiques, de qui qu'elles viennent. Ton ego s'était développé alors même que disparaissait ta modestie. Tu étais un être suffisant, arrogant et aimant plus que tout que l'on te brosse dans le sens du poil. C'était probablement pour cela que tu t'entourais, le plus souvent, d'un pseudo-harem toujours prêt à te rappeler à quel point tu étais beau et brillant. Qui donc avait dit que la vie était quelque chose de difficile ? Rien n'était impossible, lorsque l'on était Aegon Blackfyre. Et c'était probablement ce que tu préférais, dans ton existence. « Quant à prendre la place de maîtresse, ne rêvez pas trop. Plutôt être jetée dans la gueule du loup. » Tu ricanas en dégageant une boucle blonde venue s'égarer sur son visage de poupée, alors même qu'elle tentait de se débattre. Elle continuait de te résister. Et si cela avait un certain charme, au début, la jeune Ryder commençait sérieusement à te taper sur le système, désormais. « Jetée dans la gueule du loup ? En voilà une expression plutôt bien choisie, ma grande. » Tu vis la colère vriller ses traits de nouveau. Elle te haïssait. Tellement. Et cela ne faisait que faire enfler ton bien-être intérieur. Tu adorais que les gens te détestent. Tu étais drogué à la colère et à la violence, un amoureux fou des choses malsaines de la vie. Pour toi, rien n'avait aussi bon goût que la haine et les conflits. Ta façon à toi de voir le monde en rose – ou plutôt en noir. « Tu ne serais pas perdante, tu sais. J'ai plutôt bonne réputation, en tant qu'amant. Alors pourquoi résister ? Ne suis-je donc pas à ton goût ? » Tu fis glisser ton pouce sur ses lèvres charnues, la sentant se débattre. Tu savais qu'elle ne rêvait que d'une chose : t'administrer une bonne grande claque. Mais jamais elle n'oserait lever la main sur toi. On ne levait pas la main sur un sorcier de sang-pur et encore moins lorsqu'il s'appelait Aegon. Cependant, tu ne doutais pas que, faibles comme ils étaient, Jaime de Lioncourt et Léone Vasirilis devaient se faire frapper par leurs propres esclaves. Ils en étaient bien capable, ces idiots. « Vous ne direz rien pour le moment, je vous amuse pas vrai ? Un sentiment de puissance qui vous rend fort pour le moment, ça ne durera pas toujours. » Tu secouas la tête. Cette petite était si ignorante, s'en était presque désespérant. Elle devait réellement croire en cette naissance de rébellion absurde. Rien ne pourrait jamais pousser les Peyredragon du trône et il était plus que temps que le bas peuple rentre dans le rang. « Et c'est là que tu te trompes. Ma puissance est éternelle, invincible. Dis-moi donc qui pourrait la menacer ? »
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I RUINED IT BEFORE YOU COULD.

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