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(ISEIRLYS) ♔ « you’re my sister and I love you. »

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Eirlys Peyredragon
YOU MAY HAVE YOUR SWORD
BUT I HAVE MY BOOKS
Eirlys Peyredragon

YOU MAY HAVE YOUR SWORD BUT I HAVE MY BOOKS

(ISEIRLYS) ♔ « you’re my sister and I love you. » Tumblr_my0s8vZDUW1s3bn4po2_250

I REMEMBER HER ♱ I know you, I walked with you once upon a dream, I know you, that look in your eyes is so familiar a gleam and I know it's true that visions are seldom all they seem but if I know you, I know what you'll do.
(ISEIRLYS) ♔ « you’re my sister and I love you. » Aurora


ϟ ÂGE : 19 ans.
ϟ CURSUS : 6ème année, Serdaigle.
ϟ ALLÉGEANCE : Ambigüe, du coeur à la raison.
ϟ BUT : Résister ou mourir.
ϟ EPOUVANTARD : Elle-même, folle à lier.
ϟ PATRONUS : Une corneille.
ϟ MIROIR DU RISED : La liberté, la paix.


LOVE IS A REVOLUTION
RELATIONS:
JOURNAL INTIME:
MessageSujet: (ISEIRLYS) ♔ « you’re my sister and I love you. » (ISEIRLYS) ♔ « you’re my sister and I love you. » EmptyVen 4 Juil - 21:33


You’re my sister and I love you.

(MOR) ▽ « Dans le flot de vos censures ma vie reste une aventure où je n’en fais qu’à ma guise. Si ma folie n’est permise, elle n’en est que plus exquise »
Ta petite soeur. Tu erres à l’extérieur de Poudlard à la recherche de sa chevelure blonde, caractéristique de votre lignée. Elle est la dernière et techniquement, n’étant que la troisième enfant du roi, tu ne devrais pas t’en faire à ce point pour elle, tu ne devrais pas porter le regard de l’aînée sur son mal être. En vérité, tu étais sans doute la première à ne pas crouler sous le poids des futures responsabilités : non seulement Endymion & Ashara avaient monopolisé la sévérité parentale mais ta ressemblance avec Lùthien te valait plus de bienveillance que nécessaire. Plus tard, ton don t’avait officiellement écartée d’une absolue nécessité à te tracer un futur glorieux ; tu lisais les contours de l’avenir, traçait ses brumeuses formes, pas l’inverse. Iseult avait eu moins de chance, son talent se faisant bien plus isolant que ta folie latente ; si tu te montrais d’une franchise agaçante et d’un naturel souvent déstabilisant, tu avais au poignet de quoi atténuer la violence de tes visions, l’exacerbation de ton troisième oeil. Une Douloureuse ne pouvait prétendre à un tel miracle, une Douloureuse devait apprendre dans la discipline de fer. Au fond, tu comprenais cette petite princesse éloignée du monde, tu savais ce qu’était l’horrible sensation de n’être pas à sa place.. tu avais par ailleurs frôlé la répartition à Gryffondor, le Choixpeau l’ayant affirmé haut et fort. La seule différence fondamentale entre vous c’est que tu ne montrais pas tes complexes, tu ne portais pas un poids visible, tu te montrais digne de votre mère en étant à la fois l’image d’une vérité toute crue et d’une douceur, d’une générosité véritable, écoutant les doléances d’autrui, cherchant des solutions à ceux qui se voyaient embourbés dans les problèmes. Savant mélange entre le sarcasme forgé pour te protéger de toi-même et l’héritage indéniable de la reine. « Iseult. » Tu avais fini par la trouver, ta petite soeur. L’enfant sauvage, la petite casse-cou, l’équilibriste rebelle. « Crois-tu vraiment que la solitude soit la solution ? »

Il y avait mille façons de saluer mais tu n’étais pas de celles qui tournaient autour du pot ou tentait d’amadouer le cheval sauvage : ce que tu pensais, tu le disais. Sauf quand une raison valable te poussait à entrer dans un rôle différent, et dans ce cas tu savais jouer les minauderies, mais c’était réservé aux hommes, généralement. Potentiellement aux rivales, et tu n’en avais pas. Être une Morgane t’avait enseigné diverses choses dont la nécessité d’être, parfois, l’apparence et le mensonge. Pour la cause des femmes, certaines valeurs s’écartaient momentanément. « Voilà des jours que tu n’as pas donné de nouvelles. » Bien que tu sois en partie fautive, ayant passé le plus clair de ton temps enfermées ces dernières semaines, fatiguée, victime de visions incohérentes et intrusives. Ton teint pâle en témoignait encore.

« Inquiéter ta grande soeur est-il si distrayant ? » Tu t’approches. Si cette phrase pouvait avoir tous les airs d’un reproche, la douceur de ta voix signifiait combien tu étais incapable de lui en vouloir ou de la sermonner. Ca n’était pas ton rôle. Elle avait assez à faire avec les autres parfaits Peyredragon pour que, vous deux, perles noires sur le diadème immaculé, ne vous disputiez pas. Ces jeux n’étaient pas pour vous. Ces conflits ne pouvaient pas vous ressembler. Tu n’avais pas cette image d’autorité qui ornait toute l’aura d’Ashara, ni l’imposant, oppressant talent d’Endymion. Tu t’étais, par ailleurs, trouvé bien moins belle qu’Isil et Iseult. « Ou c’est simplement que tu as la tête ailleurs, petite soeur ? » Tu doutais toutefois qu’elle ait un homme en tête. Le contact était quelque chose d’assez compliqué pour elle, d’assez contraignant. Trop sans doute. Tu ne t’immisçais toutefois pas dans son existence, ainsi le sujet de ses préoccupations était-il son entier secret. Elle avait les pleins droits sur son jardin personnel, sur son coeur de satin taché du sang des déceptions auxquels vous faisiez tous face un jour ou l’autre en réalisant combien la pureté pouvait être maudite.
(c) AMIANTE

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MessageSujet: Re: (ISEIRLYS) ♔ « you’re my sister and I love you. » (ISEIRLYS) ♔ « you’re my sister and I love you. » EmptyLun 7 Juil - 12:42

ISEIRLYS
“  jolie petite ombre qui danse. ”


YOU'RE MY SISTER, AND I LOVE YOU.
Iseult posa les paumes de ses mains sur le bois du tronc et se hissa, se servant avec expertise des prises faciles qu'offrait la gigantesque plante. Une fois ceci fait, elle put enfin se poser sur la branche qu'elle observait avec attention depuis quelques minutes déjà. Avec agilité, elle s'y installa et laissa son regard océan détailler la scène. Il n'y avait pas grand-monde, ce qui lui permettait de grimper sans recevoir de regard accusateur ou curieux. Sa robe, déjà bien atteinte par son escapade, ne se déchira pourtant pas, et d'un coup de baguette léger, elle retrouva toute sa superbe. Le bâton de bois retrouva sa place, cachée, et Iseult put observer le ciel avec un petit sourire. Le sourire qu'elle avait toujours aux lèvres, qui peignait son visage d'une expression légère. Iseult avait les yeux océans, un océan rempli d'une peine étrange. L'impression de n'avoir jamais été à sa place, et pourtant, d'y être ancrée, d'être là ou elle devrait être, sans avoir l'impression d'y être bien. Elle avait le regard océan, un océan en colère, un océan dépressif, un océan jamais content et constamment jovial. Elle avait essayé de se convaincre, bleu joyeux, bleu ciel, bleu heureux. Mais elle savait, elle avait les yeux océans. Des vagues dans le regard, un naufrage sur les joues. Elle avait pourtant tout tenté. Elle avait colorié ses yeux de vert, de rouge, de violet, mais ça n'avait pas marché. Le bleu océan était toujours là, camouflé par ces teintes d'été, par ces couleurs heureuses, par ces tons de bonheur. Et pourtant, en haut de son arbre, elle se sentit bien. Légère comme une plume. Un oiseau. Elle tendit les bras en sentant le vent caresser sa longue chevelure tressée et cachée dans les feuillages, elle se surprit à vouloir voler. Encore. « Iseult. » Elle rouvrit ses yeux océans et les posa sur sa soeur, plus bas. D'un saut habile, elle retomba au sol et grimaça en voyant la mine de sa soeur. « Crois-tu vraiment que la solitude soit la solution ? » Le reproche résonna comme une multitude de petites cloches. Une seconde plus tard et Iseult demandait clémence. Elle aimerait leur dire, arrêtez-vous, j'ai une excuse. Cessez le bruit, je vais me faire pardonner. Mais les mots se coincèrent dans sa bouche et son sourire fana, le cadavre d'un court bonheur tomba au sol, et dandinant sur place, Iseult regarda sa soeur, fouillant son regard en quête de quelque chose. « Voilà des jours que tu n’as pas donné de nouvelles. » Iseult n'avait pas éprouvé le besoin de saluer ses frères et soeurs, pire encore, elle les évitait. Elle n'avait pas eu envie de croiser Endymion, même si elle restait, encore et toujours, son ombre la plus proche. Elle le suivait, de loin, l'observait, l'admirait parfois, mais jamais elle n'allait le voir, lui sourire, tenter de dire quelques mots. Ashara avait bien d'autres problèmes que de s'occuper de sa soeur, plus que muette, et bizarrement, la jeune Iseult n'avait pas croisé Eirlys depuis longtemps. Elle avait beau les suivre, les observer, être dans leur ombre et chercher à les prévenir en cas de problème imminent, il lui arrivait parfois de ne pas pouvoir jouer tous les rôles, et bien vite, elle avait perdu Eirlys, son image s'était brouillée au coin d'un couloir et Iseult n'avait pu l'observer à sa guise. Elle était pourtant, de sa famille, la plus fascinante. « Inquiéter ta grande soeur est-il si distrayant ? Ou c’est simplement que tu as la tête ailleurs, petite soeur ? » Iseult soupira, signifiant simplement qu'elle s'en voulait, un peu, mais au son de la voix de sa soeur, un petit sourire germa sur ses lèvres. Un instant, elle hésita à parler. Mais n'était-elle pas en compagnie de sa soeur ? Sans doute celle qui la comprendrait le plus entre toutes ? Iseult se racla la gorge, et d'une petite voix fluette, murmura : « J'en suis désolée. Je ne t'ai pas vu dans les couloirs, Endymion y était, Ashara y était, même Isil, mais je ne t'ai pas vu. » Je ne t'ai pas vu, et non, je ne t'ai pas croisé. Parce qu'Iseult, elle avait ce don pour passer inaperçu, se fondre dans la foule, devenir une ombre silencieuse. Fragile petite princesse aux qualités physiques exceptionnelles. Iseult, elle voyait trop, elle entendait trop, mais elle ne croisait jamais personne. Car les gens, c'est elle qui allait à l'heure rencontre, et non le contraire. Bien rare étaient ceux qui pouvaient la prendre par surprise.  Elle esquissa un petit sourire désolé, et pencha la tête sur le côté, observant sa soeur sans retenue. Elle la trouvait belle. D'une beauté non pas éphémère comme beaucoup, mais bien éternelle. Comme si elle était beauté. Elle n'avait pas à le devenir, et si beaucoup l'en aurait jalousé, Iseult en était fière. Qui aurait pu se targuer d'être la soeur d'une telle jeune femme ?

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Eirlys Peyredragon
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I REMEMBER HER ♱ I know you, I walked with you once upon a dream, I know you, that look in your eyes is so familiar a gleam and I know it's true that visions are seldom all they seem but if I know you, I know what you'll do.
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ϟ ÂGE : 19 ans.
ϟ CURSUS : 6ème année, Serdaigle.
ϟ ALLÉGEANCE : Ambigüe, du coeur à la raison.
ϟ BUT : Résister ou mourir.
ϟ EPOUVANTARD : Elle-même, folle à lier.
ϟ PATRONUS : Une corneille.
ϟ MIROIR DU RISED : La liberté, la paix.


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MessageSujet: Re: (ISEIRLYS) ♔ « you’re my sister and I love you. » (ISEIRLYS) ♔ « you’re my sister and I love you. » EmptyVen 11 Juil - 11:50


You’re my sister and I love you.

(MOR) ▽ « Dans le flot de vos censures ma vie reste une aventure où je n’en fais qu’à ma guise. Si ma folie n’est permise, elle n’en est que plus exquise »
Elle est agile, ta petite soeur. Elle est indisciplinée, rebelle. Elle grimpe aux arbres et rêve de s’envoler, colibri enfermé. Mais elle est princesse et comme toi, elle a un rang à tenir. Pire encore, elle n’est pas taxée de folie, ne peut se réfugier derrière cette excuse. Tu as cette chance, dans ton malheur. Le privilège de la cafetière fêlée par l’avenir. Ses yeux bleus sont tristes. Vous êtes deux océans, le sien aux vagues brisées sur les rochers de l’existence quand le tien voit plus loin, se perd dans les méandres des voies de la destinée. Tu es l’eau calme qui attend la tempête, elle est la tempête qui n’aspire qu’à la paix. Une paix perdue depuis trop d’années. « J'en suis désolée. Je ne t'ai pas vu dans les couloirs, Endymion y était, Ashara y était, même Isil, mais je ne t'ai pas vu. » Elle n’avait pas pu. Tu esquisses un sourire teinté de mélancolie. La mélancolie du temps heureux où votre mère baignait le monde de son soleil rayonnant. Tu l’avais perdue avant eux. Tu l’avais perdue avant même qu’elle ne succombe. Et tu ne t’étais jamais remise de cette vision ancrée à tes tripes jusqu’à la fin de tes jours. « Je n’y étais pas. » Non. Tu survivais. Tu survivais à l’image du Dragon aux reflets émeraudes. Ton frère, une couronne entre les pattes. La terreur de le voir partir aussi. Tu meurs à petits feux dés lors que l’avenir les concerne. Quand tu vois c’est un avertissement, tu le sais.

« Tu sais ce que c’est. Parfois.. on en a besoin. » Le besoin impérieux, vital, de s’isoler pour s’arracher aux griffes de la couronne. De ce diadème glissé à votre sang, de cette royauté trop lourde à porter en plus de vos dons. Vos malédictions. Elle ne pouvait toucher sans crainte. Tu ne pouvais te donner sans peur de percevoir au creux d’un contact la fatale hérésie de la Mort. Tu n’étais pas Cerbère, juste Voyante dont les énigmes n’auguraient rien de bon, rien de plaisant. « Tu pourrais demander un Abraxan à père. » Ta remarque tombe comme une évidence. Tu vois bien dans ses billes claires son désir de voir l’ailleurs, de glisser dans la caresse du vent. « Tu es trop jolie pour les balais. » Tu n’avais que peu d’estime pour ces trucs en bois qui donnaient l’allure d’un sportif indélicat. Ta soeur vaut mieux que ça. « Ou un Sombral. » Souffles-tu. « Est-ce que tu vois les Sombrals ? » Chevaux décharnés, noirs, que tu aimais tant. Ton Patronus était une Corneille dont on aurait juré qu’elle avait trois yeux. Personne ne devrait s’étonner que tu ais de l’affection pour les créatures réputées pour porter malheur. Le décès de la reine t’avait fait découvrir que la vie était courte et que dans l’ombre, parfois, se cachait des êtres invisibles à ceux dont le parcours est drapé de tendre soie, sans tache, sans douleur.

« Epouse un voyageur.. » lui glisses-tu tendrement. Oui. C’était la meilleure option pour Iseult. Un voyageur qui l’éloignerait de cette ambiance étouffante, du protocole et du culte de la perfection. Elle pourrait voler, voguer, s’éloigner. Être libre. Si tu n’aspirais également qu’à cela, tu te sentais bien plus obligée que la petite princesse. Elle devait partir pour être heureuse. Tu devais mourir pour être bien. Vos routes n’avaient pas de perpendicularité, elles ne pouvaient que se jauger, en parallèle, pour mieux s’éloigner, un jour. Chacun de vous avait un rôle. Tu échapperais à la domination masculine quel qu’en soit le prix.. mais elle avait un coeur qui pouvait battre encore.
(c) AMIANTE

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